Selon l’enquête annuelle « Ce que veulent les candidats » conduite début avril par le cabinet de recrutement Robert Half, seuls 19 % des salariés français (dans toutes les catégories d’âge et de genre) pensent que l’IA impactera négativement leur emploi. La grande majorité balance entre optimisme (40 %) chez les jeunes et incertitude (41 %) chez les 45-65 ans. Résultat : 30 % des salariés français (32 % des 45-65 ans et 28 % des 18-34 ans) citent l’IA parmi les compétences sur lesquelles ils souhaitent être formés au cours des 12 prochains mois.